Me voici, cependant au secours, sans bien ni connaissances, à montrer les fautes et les conditions médiocres et les contraintes exercées par ces gens qui nous emploient et je leur dis : – « Donnez protection, ne profitez jamais de ceux qui sont à vos pieds et qui implorent justice ! Avec amertume et miné dans mes ressources, je voyage en France, attendant au reste, la vérité qui ne sera pas difficile à vérifier pas plus que je serai sans preuves pour démontrer la calomnie de votre honneur. » Il n’en est rien dit ici mais j’incline à croire que les verrous se poussent lorsque la vérité se fait lettre. Au comble, il ne restera que les phrases du monde et ces gens qui sacrifient le respect de notre dignité à l’excellence de l’argent. Les grands saigneurs n’en guérirent jamais tout à fait, eux, du culte bourgeois, de l’univers des employés. Peut-être leur revenait-il à l’esprit ce qu’un tel d’entre eux ne se plaignait point trop de la mode en rampant comme un courtisan ? L’habitude peut-être des leçons de maman ? Enfin, revenons ! Le résultat poursuivi de me loger le soir étant de trouver les conditions matérielles nécessaires pour adresser ma colère à ces gens auprès desquels les pauvres empruntent puis partent en courant, leur annonçant : – « Je vous le rendrai ! » Continuer la lecture de « Ces gens »