PREMIÈRE DU MIDI
Je me suis aperçu ce que j’ai du puits fodéal infondé
ma vie à me défaire du ferme et du constant
(exécuter ce qui m’a fait différer si longtemps)
emprisonner le temps qu’il me reste pour agir.
Maintenant, ce livre est un esprit que je me suis procuré
et pour cela,
un particulier infini dont je ruinerai l’édifice sur lequel
s’appuie le pignon des fondements.
Tout ce qui est du présent est pour le vrai.
“ Choses desquelles on ne peut pas douter, papier entre vos mains
et autres choses de cette nature. ”
Et comment pourrais-je nier ces mains (peurs) et ce corps offusqué
par les peurs (mains) : mais quoi ? Ce sont les folles de l’exemple.
Toutefois, je suis homme qui dort en mes songes lorsqu’ils veillent
en ce lieu.
Le sommeil est tel qu’il est presque capable de me persuader
que je dors. Continuer la lecture de « RD »