Voir l’essence de l’être pour voir sa perfection — qu’aucun filet ne saurait puiser —, voir l’essence en une globalité vivante, ne serait-ce point être manifestement gouverné par le mystère ?
La vision qui, à l’être, procure le miroir de sa réalité, ne lui manifeste-t-elle pas un plan de réflexion d’où est exclu tout ce qui ne pourrait se réfléchir hors de son axe de perception, du lieu de sa vision jusqu’au lieu de ce qu’il voit ? Continuer la lecture de « N’immaculez pas ma conception ! »