L’ami sans cœur ou
le théâtre
Adieu
Celui
qui est trop gai
c’est-à-dire trop rouge
pour vivre loin du feu des rampes
De la salle
ficelles
pendantes
Des coulisses
on ne
voit qu’un nuage doré
machine
volante
Le Régisseur croyait à l’amour d’André
Lestroiscoups
L’oiseau s’envole
On avait oublié de planter le décor
Tintamarre
Le pantin
verse des larmes de bois
Pour
Prendre Congé
LOUIS
ARAGON *
*Il revient saluer. |